Trois-Rivières, le 14 octobre 2025. – C’est au cours d’une conférence de presse s’étant déroulée au parc des Ormeaux que la cheffe de Trois-Rivières Ville Forte et candidate à la mairie, Pascale Albernhe-Lahaie, a dévoilé son engagement pour les familles de notre ville. Au cours de la conférence, madame Albernhe-Lahaie a dit souhaiter que tous les enfants en âge d’aller dans un camp de jour puissent obtenir une place et ainsi faire cesser le stress vécu par leurs parents. « Je vais aider les parents qui doivent s’installer devant leur ordinateur pour tenter désespérément d’obtenir une place pour leurs enfants en réorganisant la gestion des camps de jour à Trois-Rivières », déclare madame Albernhe-Lahaie, accompagnée de membres de l’équipe Trois-Rivières Ville Forte.
« Il faut investir comme il se doit dans la disponibilité des camps de jour et procéder à une réforme qui instaurera une gestion par secteur, selon les besoins réels des familles. Je veux que les parents puissent inscrire facilement leur enfant au camp de jour près de leur lieu d’habitation, et surtout, qu’ils n’aient pas à séparer la fratrie par manque de place », ajoute la cheffe.
En plus de simplifier l’inscription, l’équipe fait de l’abordabilité et de la qualité de service une priorité. Pascale Albernhe-Lahaie souhaite que les camps de jour de la ville puissent aussi offrir des ateliers spécialisés et augmenter le nombre de visites à nos piscines municipales, lesquelles ont diminué au cours des dernières années.
Enfin, un autre casse-tête pour les parents est la date de fin des camps de jour. « Les camps ferment trois semaines avant la rentrée scolaire. C’est une longue période à combler pour les familles. Nous voulons étudier la possibilité d’une offre prolongée afin de mieux les soutenir », souligne madame Albernhe-Lahaie.
À Trois-Rivières, les camps de jour accueillent environ 1500 enfants par année et nécessiteraient une hausse du nombre de places. « Tous les parents qui ont réussi à obtenir une place en camp de jour de la ville de Trois-Rivières savent à quel point c’est un grand soulagement. Sans camp de jour avec des disponibilités adéquates, les enfants sont obligés de rester à la maison et leurs parents doivent réorganiser leur horaire de travail. Ce n’est pas seulement un stress indu, c’est surtout une perte économique nette pour nous tous », insiste Pascale Albernhe-Lahaie en guise de conclusion.